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Coup de pousse en Casamance est une association qui a pour but d'améliorer les conditions de vie en Casamance (Sénégal) et en particulier permettre l'accession à l'autosuffisance alimentaire.
vendredi 22 septembre 2017
Encore un petit effort...
Pour
nos amis qui ont déja donné, nous aimerions vous demander encore un
petit effort s’il vous plaît, qui est d'en parler autour de vous.
Il y a sûrement des gens qui ne savent pas encore comme ce projet est
formidable et qui se sentent concernés par la précarité de la vie en
Afrique. Pour ceux qui ont oublié, pensez-y. Il ne manque que 645 euros pour réaliser ce projet et beaucoup plus pour ceux que nous avons en réserve...
Vous êtes cordialement invités !
Notre première assemblée générale aura lieu le 30 septembre à la Mairie d’Assier 46320. A 14h30 : assemblée statutaire, à 15h30 : débat, prospectives, activités en plein air si la météo le permet. Vous êtes cordialement invités !
Vous
avez été nombreux à participer à la collecte que nous avons lancé pour
financer un motoculteur et ses équipements aux trois familles d’Essil.
C’est une grande réussite Nous en sommes aujourd’hui à 3355 euros ! Un grand merci à vous.
Nous approchons du but. Il serait formidable que le matériel soit opérationnel pour la récolte et donc nous devons disposer des 4000 euros fin octobre dernier délais !
L’association Coup de Pousse en Casamance voit le jour.
L’association
Coup de Pousse en Casamance (CPC) est née le 25 juillet dernier à
l’initiative de 4 anciens Volontaires du Progrès (VP) qui avaient passé
plus de 2 ans au Sénégal dans les années 80. Certains ont bien connu
Aristide à cette époque et quand Jacques et Marianne l’ont revu en
décembre dernier le désir de faire quelque chose avec lui est venu comme
une évidence.
Un euro et demi pour une demi journée
Pour
une demi journée ils demandent un repas et un euro et demi chacun. A
noter que c’est le même tarif pour les femmes qui viennent repiquer. L’égalité des sexes devant le salaire est donc bien respectée dans les campagnes de Casamance. Néanmoins à ce prix là on imagine qu’ils espèrent un autre avenir que celui de riziculteur et c’est regrettable. Nous sommes là pour améliorer cette situation et leur donner l’envie de rester au pays.
Les plants de riz au carré
Depuis
notre dernière lettre et les pluies diluviennes de la fin août qui
avaient inondé les rizières, le ciel est devenu plus clément sur la
Casamance et les agriculteurs ont repris un rythme soutenu de labour et
de repiquage.
Avec Elisabeth (Conseillère agricole du secteur) les femmes ont appris à repiquer les plants de riz au carré tous les 25 cm à l’aide de cordes avec des repères.
Elles sont capables de se débrouiller seules maintenant. Les hommes
sont à la peine, ils n’arrivent pas à tenir la cadence et les femmes
doivent attendre.
Aristide
a donc fait appel aux jeunes des villages alentour qui sont venu avec
leur kadiandou (pelle en bois avec un long manche et une lame en fer).
Ils font une sorte de labour superficiel pour enfouir l’herbe qui avait
repoussé après le passage du tracteur avec les disques.
mardi 12 septembre 2017
Il manque encore 1225,00 €...
Aujourd'hui la cagnotte atteint 2775,00 euros !
Merci à tous les généreux donateurs !!!
Il manque encore 1225,00 euros.....
Merci à tous les généreux donateurs !!!
Il manque encore 1225,00 euros.....
jeudi 7 septembre 2017
Le repiquage démarre enfin
L'eau dans les parcelles commence à descendre. Les filles arrivent pour repiquer les plants de riz. Des heures de travail à faire, tout à la main.....
Parfois on prend une petite pause, pour manger.
Le repas arrive
Parfois on prend une petite pause, pour manger.
Le repas arrive
Trop d'eau...
Les dernières semaines il a beaucoup plu, "trop même". Le repiquage a du attendre. Entre temps, le travail des terres continue par les hommes et les femmes enlevent les mauvaises herbes.
Beaucoup de travail dans des conditions difficiles. Mais le moral est bon on dirait !
Beaucoup de travail dans des conditions difficiles. Mais le moral est bon on dirait !
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